La « French Tech » désigne tous ceux qui travaillent dans ou pour les start-up françaises en France ou à l’étranger. Jean-Romain Micol, le Responsable des Métropoles French Tech, des Réseaux Thématiques et du Pass French Tech sera présent au Digital Festival Tahiti 2017.

Convaincu qu’il faut favoriser en France l’émergence de start-up à succès pour générer de la valeur économique et des emplois, le Gouvernement a créé l’Initiative French Tech fin 2013.

Sa philosophie : s’appuyer sur les initiatives des membres de la French Tech eux-mêmes, mettre en valeur ce qui existe déjà, et créer un effet boule de neige.

L’initiative French Tech ce n’est pas l’Etat qui encadre, c’est l’Etat qui soutient. C’est une ambition partagée, impulsée par l’Etat mais portée et construite avec tous les acteurs.

L’initiative French Tech ce n’est pas l’Etat qui encadre, c’est l’Etat qui soutient.

 

L’initiative French Tech se donne aussi un objectif transversal : renforcer la lisibilité et la cohérence des actions publiques en faveur des startups.

Elle ne crée pas de nouvelle organisation ni de nouvel outil public, mais elle est portée par une petite équipe, la Mission French Tech, qui travaille en lien serré avec les Directions des Ministères de l’Économie et des Finances (Direction générale des entreprises, Direction générale du trésor), des Affaires étrangères et avec le Commissariat Général à l’Investissement.

Ses partenaires, les piliers de l’initiative, sont les opérateurs nationaux, qui, sous la bannière commune « French Tech » coordonnent leurs actions en faveur des startups : la Caisse des dépôts, Bpifrance et Business France.

Les financements de l’Initiative French Tech dédiés aux accélérateurs (200M€) et à l’attractivité internationale (15M€) s’inscrivent dans le Programme d’investissements d’avenir. Dans ce cadre, l’opérateur est la Caisse des dépôts qui s’appuie sur Bpifrance pour l’investissement dans les accélérateurs et sur Business France pour les investissements internationaux pour la promotion internationale.